Écouter les enseignements de Bruno Lallement, c’est tout d’abord découvrir des fondamentaux de vie qui nous lient à la nature de ce que nous sommes.
C’est comprendre, assimiler des vérités que nous connaissions, enfouis sous notre raison claironnante et qui surgissent d’une mémoire presque évidente et oubliée.
Enseignement ci-dessous :
Prendre la responsabilité de son bonheur
Enseignement ci-dessous :
L’essentiel est ICI
De ses enseignements, nous en retirons une foi, une cohérence de vie qui peut nous faire basculer de l’autre côté du miroir. Mais la main tendue de Bruno Lallement permet d’éviter l’écueil de l’éclatement de nos repères pour nous redéfinir.
Issus d’une tradition de grands sages, indiens, occidentaux et principalement tibétains, les enseignements de Bruno Lallement nous invite à regarder les différents aspects de nos vies sous un autre angle, plus éclairants, plus grandissants.
« Lorsque vous arrivez à remercier ainsi toutes les circonstances de votre vie, négatives ou positives, plus rien ne peut vous empêcher d’être heureux. La souffrance fait partie de l’aventure de la vie, nul n’y échappe, mais ce qui fera toute la différence, c’est votre manière d’en bénéficier, autrement dit le regard que vous posez sur ces événements »
« Sans connaitre de manière claire, profonde et surtout pratique la vraie nature de ses pensées et de son esprit, il est impossible de se libérer de l’emprise de nos émotions négatives et de connaitre un bonheur authentique et durable. Seule une connaissance vraie et directe acquise par la pratique peut nous libérer de nos limites et nous faire connaître une paix authentique. »
SHHIMED RIGZIN RINPOCHE : Bruno Lallement a fréquenté pendant plus quinze ans ce grand Maître Tulku de la tradition bouddhiste de l’école Nyingmapa la plus ancienne lignée du Bouddhisme tibétain, le terme « Nyingma » signifiant « ancien ».
La première rencontre avec Shhimed Rigzin Rinpoche :
« Sa première rencontre avec ce grand Maître fut un peu décevante.
Cet homme, vieux déjà, pas très grand, assis dans un fauteuil, les cheveux un peu hirsutes portés en chignon, l’air paisible, l’air de rien.
Pas de flamboyance, pas de séduction, pas d’apparat.. était cela un grand Maître ? Qu’était-ce donc justement un grand Maître ?
Le feu qui couvait en Shhimed Rigzin Rinpoché était un feu de sagesse, c’était le feu du ciel, de la grande lignée des Dorghe, puissant comme cet air calme juste avant que ne gronde le tonnerre, foudroyant et vif comme l’éclair.
Pourtant son amitié donnée, dans la magnificence d’un homme humble et éveillé, n’avait pas de prix. Quiconque désirait croiser son chemin entrait dans les ténèbres ou dans sa lumière.
Il était là pour aider et non pour plaire. Il aurait pu ne pas revenir ici-bas, parmi les hommes. Il était si complet et si réalisé que par le seul fait d’être proche de lui, les êtres étaient baignés de sa lumière. Les mots, les pensées, les questions s’évanouissaient, mettant bénéfiquement en relief l’évanescence de nos existences, mettant à bas les orgueils et les ego, congédiant les obtus et la stupidité.
Jamais Bruno n’aurait imaginé l’étendue de la puissance spirituelle de ce Maître, ni même de celle dont les êtres humains sont capables quand ils ont choisi la voie du respect, de la compassion et de la quête du sens. »
Les enseignements de Bruno Lallement
